C’est un lieu de rencontre où des gens qui se croisent tous les jours et ne se sont jamais parlés, s’arrêtent, discutent, débattent, se confient, s’émeuvent, s’influencent, s’imaginent, se rêvent, s’apprécient…
Tous les jours, celui qui sort sa poubelle, installe dessus une petite nappe, sort sa « dinette » et prend son café puisque les cafés sont fermés…
Et si c’était trop tard pour aimer? Si le train était désormais parti sans nous?
Non, peut-être qu’il est encore le temps. Car on a toujours le temps pour aimer.
L’amour est savoir attendre, mais aussi savoir se laisser aller, se laisser emporter. Par une chanson, une danse, un parfum, une image.
Un ouragan est une forte tempête composée de plusieurs vents qui s’opposent et forment des tourbillons. Ces tempêtes arrivent tous les ans aux solstices et font les plus grands ravages sur la terre comme sur la mer, détruisant tout sur leur passage.
Quand une histoire d’amour se fait combat écologique… « Elle est apparue un matin dans l’ascenseur. On a monté cent quinze étages en silence. Puis elle est entrée dans l’école, comme moi. Pendant la récréation, elle est restée dans la classe. Moi, penché au parapet de la terrasse de verre, je me répétais : « Ne tombe pas, ne tombe pas, ne tombe pas ». J’avais peur de tomber amoureux. À l’heure du déjeuner, elle est partie et n’a jamais remis les pieds au collège. Il fallait que je la retrouve ».
LES DEUX POTAGERS est un spectacle qui questionne notre rapport à la terre à travers l’histoire de deux voisines qui cultivent leur jardin. L’une observe son terrain et fait appel à la lune pour faire pousser ses légumes tandis que l’autre est en perpétuelle agitation et utilise des pesticides pour que cela aille plus vite.
UNE ARME DANS LA TÊTE est une création théâtrale inspirée du livre de Claire Mazard (Editions Flammarion). Sur scène le comédien Osman MEGHERBI, mise en scène par Bérengère LEPRÊTRE.
Le monde de l’entreprise n’est pas un bloc, il est multiple, divers, défini autour de cultures propres, construit par des individus et des collectifs singuliers et évolutifs. Loin des clichés, nous veillons à le questionner avec justesse. Et c’est ici le sens de notre démarche : creuser un peu mieux pour mieux comprendre…